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Alexandre Bilodeau : quand bouger augmente la productivité au travail

Alexandre Bilodeau : quand bouger augmente la productivité au travail

Double médaillé d’or olympique et triple champion du monde de ski acrobatique, Alexandre Bilodeau n’a rien perdu de sa combativité, de sa détermination et de sa soif d’adrénaline. Membre de la direction de la société de placements privés Partenaires Walter Capital, le jeune comptable se nourrit (encore et toujours!) de cette pression à la performance qui l’a mené aux plus hauts sommets. Jamais toutefois au détriment de sa santé et de son bien-être.

« Dans mon domaine, c’est très compétitif. On achète des compagnies pour les faire croître, pour supporter les entrepreneurs québécois et canadiens. On doit lutter pour acquérir ces entreprises, on est toujours en mode transaction […]. On joue avec de grosses sommes d’argent, on prend des décisions qui peuvent avoir un gros impact », explique-t-il.

Son passé d’athlète international l’aide aujourd’hui à relever ces défis au quotidien. Sur les pentes, il a notamment appris l’éthique de travail, la gestion du stress et le souci du détail. « Il faut avoir fait ses devoirs et foncer sans aucun regret. J’ai toujours eu cette mentalité dans mon sport. Quand j’étais en haut de la piste, je savais que j’avais tout fait en mon possible pour réussir. »

Il garde un souvenir impérissable de sa performance à Sotchi en 2014. Il est devenu le premier skieur acrobatique du Canada à conserver son titre olympique, quatre ans après avoir obtenu l’or à Vancouver. En franchissant le fil d’arrivée, il a été submergé d’émotion et de fierté. Avant même de gagner, il savait qu’il avait réalisé sa meilleure performance. On l’a ensuite vu, avec l’unifolié sur les épaules, étreindre avec émotion son frère Frédéric. L’image a fait le tour du monde.

Mettre l’activité physique à l’agenda

Aujourd’hui dans l’ombre, Alexandre Bilodeau travaille avec autant de discipline et d’ardeur. Son horaire est bien rempli, et la pression est souvent de la partie. S’il est tout aussi passionné de finance qu’il l’a été de ski de bosses, il doit aujourd’hui mettre l’activité physique à son agenda.

« Avant, c’était mon job à temps plein et j’avais une équipe autour de moi qui veillait à ce que je sois au maximum de ma forme. C’est plus difficile maintenant. » Il se fait donc un devoir de s’entraîner quotidiennement. « Je cours 5 km sur mon tapis roulant tous les matins en me levant. C’est comme mon café. »

Pour lui, bouger est une question d’équilibre, de bien-être. « Si je ne m’entraîne pas, c’est plus laborieux de démarrer la journée et on me dit que je suis marabout. La course active mon cerveau, mes idées s’éclaircissent, ça me permet de préparer mon plan de match. » Et quand il sent la pression qui grimpe en flèche, il va s’entraîner. « Juste parce que j’ai besoin d’évacuer, de vider la soupape. »

La course active mon cerveau, mes idées s’éclaircissent, ça me permet de préparer mon plan de match.

Alexandre Bilodeau, double médaillé d’or Olympique (Vancouver et Sochi) en ski acrobatique-bosses et associé chez Walter Capital Partners

Bien-être et performance : un duo gagnant

Comme la pratique d’activité physique et le bien-être sont associés à une multitude de bienfaits, les patrons de Partenaires Walter Capital leur font une place de choix. La superficie des bureaux de la boîte en pleine croissance vient de doubler, une salle d’entraînement occupera un espace de 1500 pieds carrés. Alexandre Bilodeau et deux collègues siègent au comité d’implantation. Une cinquantaine d’employés de 21 à 75 ans pourront en bénéficier. « On a sondé le personnel sur le type d’espace qu’ils voulaient, les équipements, les activités qu’ils aiment faire et les moments auxquels ils préfèrent bouger. » La pandémie et la pénurie de main-d’œuvre ont ralenti les travaux, mais le projet devrait voir le jour cet été.

« Les associés vont chercher les candidats les plus performants et ils veulent s’assurer de les garder. Ils savent que ça passe par le bien-être et l’équilibre de vie. Un gym au bureau nous permet d’économiser du temps, de favoriser la pratique d’activité physique. »

Au-delà du gym, l’entreprise favorise les horaires de travail flexibles et mise sur le travail d’équipe, la confiance, l’écoute. Et des congés bien mérités. Deux fois par hiver, Alexandre Bilodeau va jouer dans la neige poudreuse, en Gaspésie ou en Colombie-Britannique. « Je fais du ski de randonnée, avec des peaux de phoque. J’ai initié mes amis dans les Chics-Chocs, c’était fantastique. J’aime être dehors, au grand air, ça fait partie de mon équilibre de vie. Ça fait du bien de prendre le temps de décrocher. »

Sur ses skis, il a inspiré plusieurs jeunes à « faire de l’activité physique, à aller plus loin dans leur sport et même à atteindre les Jeux olympiques », se réjouit-il. Sans regret, il a tourné la page et passé le flambeau. En février, il a tout de même regardé avec fébrilité ses anciens coéquipiers s’élancer sur la piste de bosses de Beijing, tandis qu’il enchaînait les foulées sur son tapis roulant. Il dit se sentir utile à la société autrement. Et si, par la bande, il inspire ses collègues à bouger, il n’en sera qu’enchanté.

Les associés vont chercher les candidats les plus performants et ils veulent s’assurer de les garder. Ils savent que ça passe par le bien-être et l’équilibre de vie. Un gym au bureau nous permet d’économiser du temps, de favoriser la pratique d’activité physique.

Alexandre Bilodeau, double médaillé d’or Olympique (Vancouver et Sochi) en ski acrobatique-bosses et associé chez Walter Capital Partners

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